—IL ne sortira pas de réformes structurelles de fond des rencontres internationales réguliéres—dont les objectifs restent séparés les uns des autres. (CLIMAT – EURO – POPULATION -RESSOURCES…);
–IL ne sortira pas de réformes structurelles de fond sans l´accord des populations,–mais celui-ci est en général biaisé ( cochez ici-cochez lá,faites ce qu´on vous dit–et si vous ne le faites pas,vous recommencerez ,jusqu´á ce que vous disiez oui );
–LES modifications au réel SONT EMMURÉES dans le PROTOCOLE, alors qu´elles doivent commencer par les changements d´HABITUDES.Les journalistes s´exclament lorsqu´un chef d´état européen envoie une copie de son discours–sur l´Europe vue au pratique–,á un(e) de ses collégue (!). Quoi de plus naturel, pourtant,dans le cadre commun des échanges de travail !
On craint la perte des souverainetés nationales , mais on ne définit pas les points qui fachent dans l´intégration fédéraliste (UE)–ce qui permettrait d´ouvrir les barriéres mentales…qui sont restés–elles–, bien fermées ,méme aprés l´ouverture des frontiéres !…
De meme ,on craint la mise á ÉGALITÉ des powers-blocs,par peur que cette intégration (d´esprit fédéraliste) ,ne s´étende aux relations trans-blocs !…
Il n´y a pas de définitions des critéres de qualité européens et mondiaux et les programmes d´aides au développement commencent par la peur de froisser les succeptibilités,–au lieu de dresser un tableau clair aux gouvernements qui recoivent l´aide. (Mais on veut les faire rentrer dans le systéme numérisé des évaluations et besoins )!…On maintient aussi leur dépendance á l´aide qui résulte de leur infrastructure non bátie (alors que les pays qui fournissent l´aide regorgent de sans-travail et que les travailleurs locaux pourraient etre adéquatement entrainés..) On critique les politiques d´aides apportée par la Chine–et qui vont dans ce sens… On préfére se cantonner dans la défense des principes théoriques …Les programmes d´aides sont établis numériquement ( on envoie des tracteurs lá oú ce sont des chaussures qui sont demandées…).On ne fournit pas les besoins de base dans la lutte contre les CAUSES de propagations des maladies–car la vente des produits –oudes remédes– constitue un marché appréciable…etc,etc
Il n´y a pas de solutions globales et interactives,–á part l´internet en lui-méme,mais la plupart du temps,il n´est pas utilisé á ces fins…
NI l´économie ni la finance ne percoivent l´intéraction du développement sur leurs propres habitudes, cultures et infrastructures. On garde ( globalement ) séparés les calculs du secteur privé et ceux du secteur public ! ( On ne » voit » pas intéractivement et en croisement )…
ET … on n´accepte pas d´ autres philosophies du droit que » la sienne »!…En un mot, on est trop occupés á l´expansion économique–par tous les (autres) moyens–,ce qui conduit paradoxalement » á la crise « –économique et structurelle –européenne et mondiale.
Cette crise durable de la confiance,(et du systéme financier mondial),ne sera pas résolue par le MAINTIEN Á TOUT PRIX des positions conservatives,mais par une adoption GÉNÉRALISÉE, (DANS TOUTES LES COUCHES DE DÉCISIONS), d´une position favorable AUX RÉFORMES qui s´avérent et s´avéreront,nécessaires.
POUR l´instant, on préfére encore et toujours » préparer la prochaine guerre « ,comme moyen de régler les problémes–ce qui coúte ( parait-t-il–) moins d´années et moins d´efforts…
Ce n´est pas l´avis de tout le monde…et ce n´est pas prouvé.